description RP de la com'

[Yi Bei Ka Fei]

Je pensais faire un petit texte décrivant l'aspect de la com' et la vie de tout les jours pour le nouveau venu.

L'idée c'est de rendre les RP plus cohérents. On va pas se chamailler sur savoir si le clapier et au sud ou au nord du saloon, ou si la maison commune est en face de celle de Yi ou de celle de Mira. Par contre si les maisons sont toutes sur pilotis (comme pour l'illustration du forum), ça pourrait être bien de l'officialiser un peu, histoire d'éviter les grosses incohérences (un rp dans une cave) et d'harmoniser les RPs.

En plus avoir une vision des éléments de décor peut donner des idées en terme de RP.

Quelques éléments:
- maisons sur pilotis, mares oblige EDIT: voir plus bas
- les maisons sont pour le moment en taule, planches et bout de ficelle. Les faire tenir requiert une maintenance de chaque instant
- les maisons sont reliées par des passerelles, qui sur pilotis, qui suspendues. Le bois trouve dans le coin étant surtout du bois de flottage et pouri, il est fréquent de passer au travers du plancher
- les quelques mètres carres de terrain sec sont consacres a l'agriculture
- les chemins surs sont balises, des panneaux vite fait signalent les fondrières et endroits dangereux au fur et a mesure qu'on les trouve
- éventuellement une mare au vieil alligator a la periferie assez loin de la comm, a qui on donnera un nom et a qui on balance les ordures
- les chiottes sont un trou dans le plancher des maisons, le marais sert de chasse d'eau
- EDIT les maisons au dessus de l'eau stagnantes entant insalubres, la plupart sont au dessus du sol spongieux et n'ont donc pas ce systeme de toilettes, Il y a des toilette communes qui, elles, sont construites expres au dessus de l'eau, la ou il y a un peu de courant.

-a l'horizon, au sud et au nord, les montagnes font un paysage qui a quand même de la gueule au lever du soleil
- le matériel de construction vient des ruines pré-crash de villages alentours, voir même une vielle usine, qui donnent a penser que l'endroit n'a pas toujours été marécageux avant crash.

Dites moi comment vous même voyez la comm', et quand l'ensemble des points formeront un tout cohérent on fera un texte a mettre qq part.

[Nydarenwan]

J'aime bien la vision délabré que tu en as.

Perso quand je parle de la com, j'emplois assez souvent le terme de bison ville ou autre truc du genre. Actuellement les constructions sont en Mat, et j'imagine bien le mat, en tant que matériau de construction, comme étant de la tôle.

Pour les constructions, je les voyais sur pilotie, mais pas forcement au dessus d'un plan d'eau stagnante. J'imagine plus la com comme étant construite sur une sorte de "grande ile" au millieu des marrais mais dont l'humidité du sol (... de la boue) ne rend pas la construction et le déplacement facile...
Mais j'accroche vraiment a la manière dont tu les décrit, donc moi je dit banco

[Mira]

je suis ok sur cette version ^^
pourquoi ne pas rajouter des herbes hautes, poussant n'importe comment dans les zones peu fréquentées, et de petits sentiers creusés par les passages des habitants entre le puits, le jardin, et la salle commune ?
le sol, je l'imagine boueux, donc instable... mais avec la sécheresse, il va se craqueler et laisser apercevoir des fissures dans la boue sèche...

il me semble peut être plus logique de dire que tout le monde dors au même endroit, vu qu'il n'y a qu'une salle commune... dire la maison de truc ou de machin me parait étrange ... on a qu'un bâtiment et je ne sais pas s'il est possible d'en faire d'autres du genre...

pourquoi pas une chaise ou deux, bricolées à la va vite a l'extérieur de la salle co ? j'ai remarqué que Luz et parfois d'autres perso aiment bien s'y trouver.
Ajouter des planches qui grincent, quelques babioles comme des caisses, des bouts de draps, et du bric a brac en général...
ça a de la gueule

[Yi Bei Ka Fei]

Une ile, je note. C'est naturel qu'on ai pas construit le premier bâtiment au dessus de la vase. C'est surtout l'idée du caca tombant directement dans l'eau croupie qui me semblait pittoresque, on a qu'a réserver cette "haute technologie" a certaines maisons.

Dans les comm ou j'étais avant (versions précédentes) on avait coutume de parler de la maison de machin ou bidule sans trop se poser la question de savoir si ça se retrouvait sur le plan de la communauté. Un peu de la même façon qu'on écrit des RP de biture sans pour autant avoir bu d'alcool en . Du coup je voyais bien la comm avec plusieurs bâtiments, pour faire des passerelles entre eux (et des ponts de corde qui tanguent).

Il y a aussi que j'essaye d'imaginer la comm dans le futur, une fois qu'elle aura grossi, histoire de pas avoir a réécrire le texte, car je suis un gros paresseux.

L'image du bidonville est très parlante.

Il y a aussi bien sur des chemins secs et pas trop boueux entre les mares d'eau stagnantes, mais il faut les connaitre, sous peine de s'enfoncer dans les fondrières. C'est pour ça qu'on les a balises avec des piquets, des petits tas de cailloux.

La ficelle des bâtiments peut être faite avec les hautes herbes des marais, on pourrait ajouter un séchoir ou on les suspend pour les sécher.

Du coup ca donne, en plus ou en remplacement de ce qu'il y avait avant:

- maisons sur pilotis pour se protéger de l'humidité du sol, des serpents, de la monte des eaux a la mauvaise saison.

- le sol sèche et se craquelle en été, ça crée des zones plus dures, inexploitables en hiver, ou on peut faire du sport d'équipe (une sioule? lien pour ceux qui ne connaissent pas )

- au lieu d'avoir des maisons individuelles, on a plusieurs maisons communes, d'une taille déterminée par tâtonnement, grande pour minimiser l'emploi de matériel, mais assez petites pour être (relativement) stables et (paraitre) solides.

- Les passerelles peuvent donner ça et la sur des terrasses en planches ou des espaces de sol dur, ou on a pose des caisses, des chaises en bois de recup' pour se poser et discuter. Il y a aussi quelques hamacs tendus entre les pilotis.

- la ficelle des maisons, ponts, clôtures etc est faite avec des herbes du marais, séchées en botte.

[Le Comptable]

J'aime beaucoup le style de l'ensemble. La combinaison maisons sur pilotis communes - passerelles baroques faites avec de la récup - terrain inégal - herbes folles, ça donne une idée vraiment classe du truc.

Pour justifier le côté salle commune, on pourrait imaginer une organisation un peu en toile d'araignée (les vraies, pas celles toutes régulières), avec la salle au centre, mais aussi plein de réseaux intermédiaires entre maisons, bâtiments, terre-pleins.

Après, le côté de bric et de broc pourra changer, mais en se développant peu à peu sur ce foutoir.

[Mira]

Vu qu'on est tous plus ou moins ok, qui se charge de pondre ce monument de la description ?

[Yi Bei Ka Fei]

Ben, j'étais parti pour. Justement demain c'est férié, alors je vous met ça demain soir ici pour voir si ça vous plait.

[Yi Bei Ka Fei]

On arrive a Shangri la par un chemin etroit, au coeur des marais. Quelques bonnes ames l'ont balise avec des piquets peints en rouge et de la ficelle, mais des restes d'ossements dans les fondrieres a droite et a gauche montrent que c'est un ajout récent. Il est d'autant plus utile que si l'envie vous prenait, au moment ou les batiments apparaissent a votre vue, d'aller tout droit vers eux, vous etes pratiquement sur de vous foutre au bain: le sentier fait de longs detours pour eviter les sols trop mous.

L'ensemble de la communaute est regroupe sur une sorte d'ile, en fait une surface de terrain solide plus large que les autres. Elle est entoure de tout cote par des mares, entre lesquelles l'eau circule lentement entre les deux rivieres, au nord et au sud. Les variations de niveau entre les deux cours d'eau font que l'eau peut s'ecouler dans un sens ou dans l'autre, ou parfois pas du tout, selon les saisons et les marees.

Ce qui frappe tout d'abord a l'entree du hameau, c'est le grand sechoir, sorte d'echafaudage de branches, haut comme deux hommes, ou sont suspendues des bottes de grandes herbes des marais, mises a secher tete en bas. La raison en est facile a comprendre: tout, a Shangri La, absolument tout tient a partir de bouts de ficelle, produite avec ces herbes.

Le milieu insalubre des marais a pousse les habitants a choisir une architecture sur pilotis, qui les protege de l'humidite, des crues et des serpents. Toutes les maisons sont baties sur une terasse, elle meme perchee sur plusieurs poteaux plantes profondements dans le sol. La plupart des maisons s'enfoncent graduellement, pour les moins chanceux tout les poteaux ne s'enfoncent pas au meme rythme. Il regne une atmosphere de bidonville parmi ces masures faites de materiaux de recuperation, vieille toles, vieilles planches et bois de flottage. Pour tenir tout ca ensemble, la ficelle est omnipresente.

Rapidement las de descendre et monter des echelles et de se salir les pieds pour aller d'un batiment a l'autre, les habitants ont construit des passerelles qui les relient. Elles aussi sont en planches dont la solidite n'est pas garantie, et qui inquietent le passant en craquant quand on marche dessus.

Au milieu de l'ile se dresse la salle commune, batiment le plus vieux et donc le plus rafistole. D'autres ont pousse autour, disposes en etoile et relies a lui par les passerelles, formant une fragile toile d'araignee. Entre les passerelles certains espaces de terrain plus solide accueillent l'agriculture, comme le jardin medicinal. La plupart des habitants, quand ils ne travaillent pas, se regroupent sur ces terrains ou sur les terrasses, poses sur des chaises bricolees ou de vieille caisses pour discuter. En ete, quand le sol se deseche est se craquelle, les terrains solides s'elargissent et permettent d'organiser des beuveries annuelles sans crainte de perdre les participants dans les sables mouvants. Les seuls batiments situes en dehors de l'ile, au dessus de l'eau, sont les toilettes publiques.

Tout le materiel provient de ruines alentours, des restes de maisons individuelles ainsi qu'une vieille usine rasee par le crash, qui devait deverser toutes sortes de saloperies dans le cours d'eau, a l'epoque ou ce n'etait pas encore devenu un marais.

Malgre le cote delabre de l'ensemble, le lever du soleil sur les monts qui bordent la riviere au nord et au sud donnent un aspect grandiose au paysage.

[Yi Bei Ka Fei]

j'ai pas mal hesite entre une simple description comme ca ou un truc plus vivant, genre visite guidee par un vieux degoutant, finalement j'ai fait comme ca.

C'ets peut etre un peu long...

[Mira]

Hum j'ai corrigé quelques rares fautes, et remis des accents...
J'ai modifié de trois truc, dis moi si ca te va.

et puis pour le jardin, ca me parait étrange de le faire sur des pilotis aussi... J'ai pas touché mais bon...

[Mira]

On arrive à Shangri-la par un sentier étroit, au cœur des marais. Quelques bonnes âmes l’ont balisé avec des piquets peints de rouge et de la ficelle, mais des restes d'ossements dans les fondrières à droite et à gauche montrent toute la nécessité de ces repères. Le sentier est d'autant plus utile que si l'envie vous prenait, au moment ou les bâtiments sortent de la brume, d'aller tout droit vers eux, vous êtes pratiquement sûr de vous foutre au bain : le sentier fait de longs détours pour éviter les sols trop mous.

L'ensemble de la communauté est regroupé sur une sorte d'île, constituée en réalité d’une surface de terrain solide plus large que les autres. Elle est entourée de tous côtés par des petites mares, parmi lesquelles l'eau circule lentement entre les deux rivières, au nord et au sud. Les variations de niveau entre les deux affluents font que l'eau peut s'écouler dans un sens ou dans l'autre, ou parfois pas du tout, selon les saisons et les crues.

Ce qui frappe tout d'abord à l'entrée du hameau, c'est le grand séchoir, sorte d'échafaudage de branches, haut comme deux hommes, où sont suspendues des bottes de grandes herbes des marais, mises à sécher tête en bas. La raison semble évidente : tout, à Shangri-la, absolument tout semble tenir grâce à des bouts de ficelle, créée avec ces herbes.

Le milieu insalubre des marais a poussé les habitants à choisir une architecture sur pilotis, qui les protège de l'humidité, des crues et des serpents. Toutes les maisons sont bâties sur une terrasse, elle-même perchée sur plusieurs poteaux profondément plantés dans le sol. La plupart des maisons s'enfoncent graduellement dans le sol meuble. Et pour les moins chanceux tous les poteaux ne s'enfoncent pas au même rythme. Il règne une atmosphère de bidonville parmi ces masures faites de matériaux de récupération, vieille tôles, vieilles planches et bois de flottage. Pour tenir tout ça ensemble, la ficelle est omniprésente.

Rapidement las de descendre et monter des échelles et de se salir les pieds pour aller d'un bâtiment à l'autre, les habitants ont construit des passerelles qui les relient. Elles sont également faites de planches, dont la solidité est toute relative… Chaque passage sur ces passerelles provoque grincements et craquements qui ne manquent pas d’inquiéter.

Au milieu de l'île se dresse la salle commune, le bâtiment le plus vieux et donc le plus rafistolé. D'autres ont poussé autour, disposés en étoile et reliés à lui par les passerelles, formant ainsi une fragile toile d'araignée. Entre les passerelles certains espaces de terrain plus solide accueillent l'agriculture, comme le jardin médicinal. La plupart des habitants, quand ils ne travaillent pas, se regroupent sur ces terrains ou sur les terrasses, assis sur des chaises peu stables et rafistolées ou sur de vieilles caisses pour discuter. En été, quand le sol se dessèche et se craquelle, les terrains solides s'élargissent et permettent d'organiser des beuveries annuelles sans crainte de perdre les participants dans les marécages. Les seuls bâtiments situent en dehors de l'île, au-dessus de l'eau, sont les toilettes publiques.
Les résidents de Shangri-la descendent malgré tout pour chercher au sol plantes comestibles, racines et petit gibier pour se nourrir. La zone est peuplée de petites bestioles, qui viennent agrémenter l’ordinaire. Un peu à part se trouve un puits, contenant une eau plus ou moins claire selon la météo…

Tout le matériel provient de ruines alentours, des restes de maisons individuelles ainsi qu'une vieille usine rasée par le crash, et qui devait déverser toutes sortes de produits dans le cours d'eau, à l'époque ou ce n'était pas encore devenu un marais.

Malgré le côté délabré de l'ensemble, le lever du soleil sur les montagnes qui bordent la rivière au nord et au sud offre un paysage grandiose à celui qui regarde.


(alternative)
Mais surplombant ces tôles, ces marais brumeux et ces habitants de tout poils, le lever de soleil éclaire des montages superbes bordant une rivière étincelante. Et c’est pour cela que l’espoir renaît.

[Le Comptable]

Excellent ! OK pour les ajouts. Ca a vraiment de la gueule. On le mets en entier sur la page d'accueil de la com ?

[Nydarenwan]

Très sympa !!!

Oui, on peu le mettre sur le forum en annonce du forum RP et sur la description de la com.

[Mira]

on prend quelle fin ?

[Nydarenwan]

J'aime bien la 2 ^^

[Yi Bei Ka Fei]

ouais, le 2 est plus lyrique.

pour moi les jardins étaient bien au sol. c'est peut être le "entre les passerelles" qui donne une impression bizarre, tu peux corriger ça si tu veux.

Les seuls bâtiments situent en dehors de l'île, au-dessus de l'eau, sont les toilettes publiques.

"qui se situent", ou alors "situés2.

[Nydarenwan]

Donc au final on obtient ça:

On arrive à Shangri-la par un sentier étroit, au cœur des marais. Quelques bonnes âmes l’ont balisé avec des piquets peints de rouge et de la ficelle, mais des restes d'ossements dans les fondrières à droite et à gauche montrent toute la nécessité de ces repères. Le sentier est d'autant plus utile que si l'envie vous prenait, au moment ou les bâtiments sortent de la brume, d'aller tout droit vers eux, vous êtes pratiquement sûr de vous foutre au bain : le sentier fait de longs détours pour éviter les sols trop mous.

L'ensemble de la communauté est regroupé sur une sorte d'île, constituée en réalité d’une surface de terrain solide plus large que les autres. Elle est entourée de tous côtés par des petites mares, parmi lesquelles l'eau circule lentement entre les deux rivières, au nord et au sud. Les variations de niveau entre les deux affluents font que l'eau peut s'écouler dans un sens ou dans l'autre, ou parfois pas du tout, selon les saisons et les crues.

Ce qui frappe tout d'abord à l'entrée du hameau, c'est le grand séchoir, sorte d'échafaudage de branches, haut comme deux hommes, où sont suspendues des bottes de grandes herbes des marais, mises à sécher tête en bas. La raison semble évidente : tout, à Shangri-la, absolument tout semble tenir grâce à des bouts de ficelle, créée avec ces herbes.

Le milieu insalubre des marais a poussé les habitants à choisir une architecture sur pilotis, qui les protège de l'humidité, des crues et des serpents. Toutes les maisons sont bâties sur une terrasse, elle-même perchée sur plusieurs poteaux profondément plantés dans le sol. La plupart des maisons s'enfoncent graduellement dans le sol meuble. Et pour les moins chanceux tous les poteaux ne s'enfoncent pas au même rythme. Il règne une atmosphère de bidonville parmi ces masures faites de matériaux de récupération, vieille tôles, vieilles planches et bois de flottage. Pour tenir tout ça ensemble, la ficelle est omniprésente.

Rapidement las de descendre et monter des échelles et de se salir les pieds pour aller d'un bâtiment à l'autre, les habitants ont construit des passerelles qui les relient. Elles sont également faites de planches, dont la solidité est toute relative… Chaque passage sur ces passerelles provoque grincements et craquements qui ne manquent pas d’inquiéter.

Au milieu de l'île se dresse la salle commune, le bâtiment le plus vieux et donc le plus rafistolé. D'autres ont poussé autour, disposés en étoile et reliés à lui par les passerelles, formant ainsi une fragile toile d'araignée. Entre les passerelles, certains espaces de terrain plus solide accueillent l'agriculture, comme le jardin médicinal. La plupart des habitants, quand ils ne travaillent pas, se regroupent sur ces terrains ou sur les terrasses, assis sur des chaises peu stables et rafistolées ou sur de vieilles caisses pour discuter. En été, quand le sol se dessèche et se craquelle, les terrains solides s'élargissent et permettent d'organiser des beuveries annuelles sans crainte de perdre les participants dans les marécages. Les seuls bâtiments situés en dehors de l'île, au-dessus de l'eau, sont les toilettes publiques.
Les résidents de Shangri-la descendent malgré tout pour chercher au sol plantes comestibles, racines et petit gibier pour se nourrir. La zone est peuplée de petites bestioles, qui viennent agrémenter l’ordinaire. Un peu à part se trouve un puits, contenant une eau plus ou moins claire selon la météo…


Tout le matériel provient de ruines alentours, des restes de maisons individuelles ainsi qu'une vieille usine rasée par le crash, et qui devait déverser toutes sortes de produits dans le cours d'eau, à l'époque ou ce n'était pas encore devenu un marais.


Mais surplombant ces tôles, ces marais brumeux et ces habitants de tout poils, le lever de soleil éclaire des montages superbes bordant une rivière étincelante. Et c’est pour cela que l’espoir renaît.

Je vous propose de partir sur cette base, et si le besoin s'en fait sentir, nous pourrons rajouter des description de bâtiment ou autre.

Je vous propose donc de mettre ce jolie texte sur le forum (RP de la com)sur notre vitrine (RP publique), mais également sur le wiki.
Le met-on sur la fiche de la com ?

[Le Comptable]

Super. Ouais, tant qu'à faire, on la met partout. C'est un peu long pour la fiche de com, mais bon c'est pas grave

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