L'arrivée du promeneur

[Ralf F.]

Le promeneur et son acolyte étaient arrivés en même temps que les premiers rayons du soleil. Ils entrèrent tous les deux tranquillement dans la première partie de la communauté, celle que l'on réserve aux visiteurs. Au passage il salua les personnes présentes d'un hochement de tête puis informa quelqu'un de son arrivée à un poste de garde.

[Lanthane]

Lanthane, quand à elle, s'apprêtait à sortir. Elle attendait le reste de l'équipe de "recyclage des vieux matériaux" pour partir en expédition dans la montagne environnante.

Sac : OK. Bouteille d'eau : OK. Chapeau : OK.
Canne ?

Elle parut paniquer quelques secondes le temps de se souvenir qu'elle avait posé sa canne contre le mur à 20 cm d'elle avant de se pencher sur ses affaires.

Canne : OK.

Elle se redressa, tout en époussetant sa vieille jupe grise. De nombreux accrocs avaient été soigneusement réparés, on devinait des tâches tenaces qui avaient refusé de partir, malgré l'ardeur qu'on avait mis pour tenter de les faire disparaitre.

Lanthane finit par s'appuyer sur sa canne, et examina les alentours sereinement... Jusqu'à que son regard tombe sur un homme enroulé dans une longue cape grise. Un léger picotement la saisit à la nuque alors qu'elle tentait de deviner les traits de son visage derrière l'ombre de sa cape.

[Ralf F.]

Le promeneur avait attendu quelques minutes avant que les portes de la ville ne lui soit grandes ouvertes à lui, et à l'autre homme qui l'accompagnait. Il commença par visiter la ville et saluer, ça et là, les personnes qu'ils avaient rencontrés sur leur route. Lorsqu'il croisa la vieille femme il passa son regard sur elle puis lui sourit.
Il me semble vous avoir déjà vue, dehors. Comment s'est passé votre expédition ?

[Lanthane]

Il fallut un certain temps à Lanthane pour assimiler qu'on lui parlait. Si elle n'avait pas sentie le mur de l'atelier dans son dos, elle se serait retournée pour voir la personne à qui cet homme parlait certainement.

Hum... Bonjour Monsieur, je suis Lanthane, citoyenne et bâtisseuse de Shangri-La. Bienvenue parmi nous.

Elle faillit tendre la main, vieux réflexe de l'occasion, pour partager une poignée, mais elle avait fini par comprendre que l'époque ne s'y prêtait plus. Valait mieux garder la main sur son arme. Elle serra donc sa canne.

Vous m'avez peut-être aperçue dans les montagnes dominant Shangri-La. Nous sortons chaque jour à la recherche de matériaux pour construire la ville. Enfin, quand on ne perd pas...

[Ralf F.]

Le promeneur hocha la tête en guise de réponse.
Je me nomme Ralf Fenneller. Puis il se pencha légèrement en avant lorsqu'elle avait fini de parler.
Quand vous ne perdez pas ... ?

[Lanthane]

Hum, je voulais dire "quand on ne se perd pas". Notre enthousiasme à explorer la montagne nous a parfois joué des tours... Heureusement, peu de gens mal intentionnés prennent ces chemins.

Elle se tut tandis qu'elle se remémorait une de ses aventures. Puis secouant la tête, elle reprit sur le ton de la conversation :

Et vous, Monsieur Fenneller, qu'est ce qui vous amène par ici ? Des projets ?

[Aninein Stein]

Aninein stein vint voir son amie et néanmoins collégue pour lui demander ce qu'elle faisait, si elles voulaient arriver avant la nuit dans les montagnes il fallait partir tout de suite. Aminein était une femme d'une grande beauté si on enlevait l'impression qu'elle était aussi aimable qu'une porte de prison

Enfin Miss, il faut y aller ... Vous savez avec la zombie on est pas arrivées

Elle se rendit compte alors de la présence du nouveau venue et le toisa du regard des pieds jusqu'à la tête

Bonjour vous... ... euh... vous êtes qui?

dit elle avec un ton froid comme souvent quand elle ne connaissait pas les gens rencontrés

[Ralf F.]

Je n'ai que pour projet de survivre avec les miens.
Il sourit puis s'apprêta à la laisser partir lorsqu'une nouvelle personne arriva. Il tourna la tête
vers elle.
Je suis récemment arrivé en ville avec quelqu'un d'autre.
Puis il salua les deux femmes et reprit sa visite.
Bonne journée mesdames.

[Lanthane]

Lanthane et Aninein le regardèrent partir.

Il s'appelle Ralf Fenneller, compléta la femme à la canne.
Mais je ne sais pas qui sont "les miens"... Ils ont pas l'air nombreux.

Bref, reprit-elle plus dynamiquement, je suis prête ! Allons-y !
Et pas par la crête Nord... J'ai encore des courbatures...

[Ralf F.]

[HRP: Mon personnage est mort de faim alors qu'il avait 8 pdv, 4 médicaments/eaux/nourritures sur lui, qu'il n'a jamais eu de relations sexuels, tué quelqu'un, découpé quelqu'un et prit des drogues et qu'il était dans la communauté (il serait également tombé malade à 22h55). J'ai contacté Cavey à ce sujet. En attendant confirmation je vous prierai de faire comme si mon personnage est toujours vivant histoire de ne pas chambouler les choses :p

Si quelqu'un a une idée aussi je suis preneur.]

[Nager]

Ralf, tu as été éxécuté par les nomades car tu avais attaqué Turtlekiller qui est mort lorsque Quint l'a attaqué juste après toi.

on va faire un petit Rp, en gros vous êtes sortis pour une prétendue capture, tu as été sorti du groupe et capturé par les autres. Après Fenec t'as confié à Beber qui t'a achevé.

voilà, désolé pour ton perso, mais il était pas bien vieux Et il aura un joli petit Rp.

[Ralf F.]

[HRP: Sauf qu'il y a marqué que je suis mort de faim et dans les derniers événements je n'ai pas de message de capture (y en a-t'il lorsque l'on se fait capturer ?). Donc c'est pour ça que je trouve ça bizarre.]

[Fenec]

(bizarre, je t'ai capturé, puis comme c'est lui qui t'a achevé, j'ai demandé à Béber qu'il t'envoie une "dédicace", tu aurais dut la recevoir. Il y a un bug d'affichage sur vos deux cadavres remarques, vos noms ont disparu, c'est peut être dut au mode de la mise à mort "l'exécution de prisonnier", mais tu aurais dut recevoir un message "d'adieu" de notre part, alors il semble bien qu'il y ai un bug).

[Fenec]

Nager a dut dire à Ralf qu'il devait nous rejoindre pour participer à une capture dans le marais. Il pose différentes questions, mais Fenec ne répond pas. Quand le groupe est formé, ils sortent. Quint tire sur sa chaine, il n'a plus de face, la langue arrachée, un œil mort exorbité, il avançe titubant déboussolé. Après avoir quelques peu marché, Fenec et Béber qui se sont positionnés en arrière de Ralf, le saisisse chacun par un bras. Naya se retourne et lui envoies une droite au plexus qui lui coupe le souffle, Métro d'un coup de gourdin le couche inconscient dans la vase. Fenec regarde tour à tour Quint et Ralf puis déclare: "Tu voulais être leur bourreau Béber, fais ton œuvre."

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