[Fête de l'Espoir] BouiBoui du Porta
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[Fête de l'Espoir] BouiBoui du Porta
C'est au fin fond d'une ruelle, situé au pied de l'énorme réservoir du récupérateur d'eau, et coincé entre la forge et la feraillerie, que Porta à ouvert son buibui.
Ainsi, on peut y découvrir un superbe présentoir, constituté entre autre de longues planches cloués entre elles, devant lequel se tiennent une douzaine de tabouret industriel que Porta avait eut la bonne idée de ramener de l'usine en ruine non loin de Shangri-La.
Derrière ceux-çi, on peut apercevoir deux ou trois tables devant lesquelles les gensont empilés les débris envirronnantes afin de pouvoir s'asseoir.
Le cul de la ruelle n'étant pas trés large, cela explique aussi le fait que tout le monde se marche plus ou moins dessus, ais qui contribuait Ô combien, à rendre l'atmosphère conviviale.
Pourquoi un endroit si pommé? Pourquoi se cacher? Quel est cette douce odeur flottant autour de ce noble établissement, émanant des marmites cuisant à l'intérieur de quatre barils aménagés en guise de four ? Et quel alcool peut donc bien couler de l'alambic situé derrière Porta, dans les nombreuses bouteilles qui se remplissent au fur et à mesure qu'elles se vident?
Tant de question ne pouvant trouver leurs réponses que dans les assiettes et les verres des clients!
Et quelles clients! Dans l'immédiat, il n'y a que des gens bien connu du teneur en Chef, qui pour l'occasion, porte un gros sac de farine vide sur la tête, en guise de toque, en lieu et place de l'habituel haut de forme.
On peut donc voir les gens se presser pour trouver un tabouret ou quelconque objet permettant de se mettre à niveau du présentoir, attendant la bave aux lèvres, tenant avidemment des quarts, assiettes et divers ustensibles permettant de manger ou de boire à sa guise.
On voit donc Porta, derrière le présentoir, remuer dans les grosses marmites à l'aide de grosse louches en bois, vérifier de temps à autres l'alambic, découper des gros morceaux de viandes avec sa bayonnette, avant de fourrer le tout dans une casserle bosselé au feu.
Se retournant, Porta s'éclaire la gorge, avant d'hurler au calme:
- Hem He, hem! Cher gens! Femmes, hommes, enfants et mutants! La boustifaille est bientôt prête, et l'service à gnole bientôt en route! Mais, comme pour toute chose que l'on reçoit plus ou moins gratuitement, on doit le mériter avant! Je vais donc vous contez ma recette, car elle se doit d'être connu avant de la manger!
Bien, avant tout c'est que ce plat divin doit être fait avec amour car, si on n'y met pas de sentiments, ce n'est même pas la peine d'essayer.
Donc, tout d'abord, on prend quelques belles pommes de terre qu'on s'arrange pour voler dans une cave ou ailleurs, on les épluche en ôtant le gâté, puis laissez tomber chaque patates dans un sceau de merveilleuse eau claire, fraîche comme le clapotis d'un petit ruisseau.
Vous faites cuir les pommes de terres, puis les écrasez correctement en purée entre deux casques.
Et maintenant écoutez tous, c'est le principal: allez dans un champ ou vous avez remarqué la présence de bêtes à cornes, choisissez une femelle et tirez un bol de lait que vous versez dans la purée.
Mais par l'amour de dieu, n'allez pas vous tromper et ne prenez pas une ânesse pour une vache! Je dois avertir que le lait d'ânesse ne sert qu'à prendre des bains!
Donc pas de lait d'ânesse, mais du vrai lait de vache que vous tournez gentiment dans la purée...
Oui, certes, certes, on n'a jamais vu de vaches auprès de Shangri-La, c'est pour cela que je suis aller voir les chamelles.
Bref, ensuite, ajoutez du sel mais toujours avec du sentiment, et continuez à tourner avec la cuillère en bois, où si vous n'en avez pas avec une baïonnette, essuyez auparavant naturellement!
Notez qu'ayant une cuillère en bois, je n'utiliserait pas ma baïonnette!
Bon, quand cela est fait, vous volez dix œufs que vous battez avec du sucre.
Le sucre vous le barbotez à l'intendance par une nuit un peu noir, quand tout est bien battu vous versez dans la purée.
Mais par l'amour de dieu lentement, lentement... Puis vous cuisez a feu doux, avec du bois de hêtre allumé à l'essence.
Le lard, quand à lui, se fait brunir sur des braises, de hêtre ici aussi, puis vous le coupez en petit cubes que vous glissez dans le feu, mais tout cela doit être fait consciencieusement et d'une manière catholique, si vous ne l'êtes pas, vous n'avez qu'à en trouver un!
Oui, je vous vois venir ici aussi! Il n'y a jamais eut de cochon près de Shangri-La, c'est pour cela que je me suis rabattu sur un chameau que l'on a dut abattre car ayant eut trois pattes cassés dans un éboulement, croyez moi, c'est le mieux qui aient pu lui arriver...
Enfin mettez un peu d'ail dans la purée, du Paprika ou une douille à demi pleine de poivre ne font pas de mal non plus.
Prenez garde au nom du ciel à ne pas laissez trop longtemps sur le feu ce régal des dieux!
Pour le manger, rincez vos couverts car ce serait un crime de manger cela avec des couverts sales! Si vous n'avez pas de couvert, utilisez vos doigts, mais là aussi, rincez auparavant!
Quand au dés de lards, s'ils vous arrivent un jour de trouver un cochon, et que je ne l'ai pas barboter sous vos yeux auparavant, souvenez vous qu'il faut du lard d'un cochon blanc ou d'un noir, un bariolé ca passe encore mais pas de cochon roux seigneur c'est impossible!
Tout cela pour dire, que vous pouvez maintenant tendre vos quarts, non! NON! NON BANDE DE SAUVAGES! PAS TOUS EN MÊME TEMPS! HE HO! Raaah... Va falloir qu'j'me trouve une aide de camp moi...
Et voila Porta qui se met à taper sur les mains avides avec sa cuillère en bois...
- J'ai dis pas tous en même temps!
Ainsi, on peut y découvrir un superbe présentoir, constituté entre autre de longues planches cloués entre elles, devant lequel se tiennent une douzaine de tabouret industriel que Porta avait eut la bonne idée de ramener de l'usine en ruine non loin de Shangri-La.
Derrière ceux-çi, on peut apercevoir deux ou trois tables devant lesquelles les gensont empilés les débris envirronnantes afin de pouvoir s'asseoir.
Le cul de la ruelle n'étant pas trés large, cela explique aussi le fait que tout le monde se marche plus ou moins dessus, ais qui contribuait Ô combien, à rendre l'atmosphère conviviale.
Pourquoi un endroit si pommé? Pourquoi se cacher? Quel est cette douce odeur flottant autour de ce noble établissement, émanant des marmites cuisant à l'intérieur de quatre barils aménagés en guise de four ? Et quel alcool peut donc bien couler de l'alambic situé derrière Porta, dans les nombreuses bouteilles qui se remplissent au fur et à mesure qu'elles se vident?
Tant de question ne pouvant trouver leurs réponses que dans les assiettes et les verres des clients!
Et quelles clients! Dans l'immédiat, il n'y a que des gens bien connu du teneur en Chef, qui pour l'occasion, porte un gros sac de farine vide sur la tête, en guise de toque, en lieu et place de l'habituel haut de forme.
On peut donc voir les gens se presser pour trouver un tabouret ou quelconque objet permettant de se mettre à niveau du présentoir, attendant la bave aux lèvres, tenant avidemment des quarts, assiettes et divers ustensibles permettant de manger ou de boire à sa guise.
On voit donc Porta, derrière le présentoir, remuer dans les grosses marmites à l'aide de grosse louches en bois, vérifier de temps à autres l'alambic, découper des gros morceaux de viandes avec sa bayonnette, avant de fourrer le tout dans une casserle bosselé au feu.
Se retournant, Porta s'éclaire la gorge, avant d'hurler au calme:
- Hem He, hem! Cher gens! Femmes, hommes, enfants et mutants! La boustifaille est bientôt prête, et l'service à gnole bientôt en route! Mais, comme pour toute chose que l'on reçoit plus ou moins gratuitement, on doit le mériter avant! Je vais donc vous contez ma recette, car elle se doit d'être connu avant de la manger!
Bien, avant tout c'est que ce plat divin doit être fait avec amour car, si on n'y met pas de sentiments, ce n'est même pas la peine d'essayer.
Donc, tout d'abord, on prend quelques belles pommes de terre qu'on s'arrange pour voler dans une cave ou ailleurs, on les épluche en ôtant le gâté, puis laissez tomber chaque patates dans un sceau de merveilleuse eau claire, fraîche comme le clapotis d'un petit ruisseau.
Vous faites cuir les pommes de terres, puis les écrasez correctement en purée entre deux casques.
Et maintenant écoutez tous, c'est le principal: allez dans un champ ou vous avez remarqué la présence de bêtes à cornes, choisissez une femelle et tirez un bol de lait que vous versez dans la purée.
Mais par l'amour de dieu, n'allez pas vous tromper et ne prenez pas une ânesse pour une vache! Je dois avertir que le lait d'ânesse ne sert qu'à prendre des bains!
Donc pas de lait d'ânesse, mais du vrai lait de vache que vous tournez gentiment dans la purée...
Oui, certes, certes, on n'a jamais vu de vaches auprès de Shangri-La, c'est pour cela que je suis aller voir les chamelles.
Bref, ensuite, ajoutez du sel mais toujours avec du sentiment, et continuez à tourner avec la cuillère en bois, où si vous n'en avez pas avec une baïonnette, essuyez auparavant naturellement!
Notez qu'ayant une cuillère en bois, je n'utiliserait pas ma baïonnette!
Bon, quand cela est fait, vous volez dix œufs que vous battez avec du sucre.
Le sucre vous le barbotez à l'intendance par une nuit un peu noir, quand tout est bien battu vous versez dans la purée.
Mais par l'amour de dieu lentement, lentement... Puis vous cuisez a feu doux, avec du bois de hêtre allumé à l'essence.
Le lard, quand à lui, se fait brunir sur des braises, de hêtre ici aussi, puis vous le coupez en petit cubes que vous glissez dans le feu, mais tout cela doit être fait consciencieusement et d'une manière catholique, si vous ne l'êtes pas, vous n'avez qu'à en trouver un!
Oui, je vous vois venir ici aussi! Il n'y a jamais eut de cochon près de Shangri-La, c'est pour cela que je me suis rabattu sur un chameau que l'on a dut abattre car ayant eut trois pattes cassés dans un éboulement, croyez moi, c'est le mieux qui aient pu lui arriver...
Enfin mettez un peu d'ail dans la purée, du Paprika ou une douille à demi pleine de poivre ne font pas de mal non plus.
Prenez garde au nom du ciel à ne pas laissez trop longtemps sur le feu ce régal des dieux!
Pour le manger, rincez vos couverts car ce serait un crime de manger cela avec des couverts sales! Si vous n'avez pas de couvert, utilisez vos doigts, mais là aussi, rincez auparavant!
Quand au dés de lards, s'ils vous arrivent un jour de trouver un cochon, et que je ne l'ai pas barboter sous vos yeux auparavant, souvenez vous qu'il faut du lard d'un cochon blanc ou d'un noir, un bariolé ca passe encore mais pas de cochon roux seigneur c'est impossible!
Tout cela pour dire, que vous pouvez maintenant tendre vos quarts, non! NON! NON BANDE DE SAUVAGES! PAS TOUS EN MÊME TEMPS! HE HO! Raaah... Va falloir qu'j'me trouve une aide de camp moi...
Et voila Porta qui se met à taper sur les mains avides avec sa cuillère en bois...
- J'ai dis pas tous en même temps!
JosephPorta- Messages : 1196
Date d'inscription : 22/12/2009
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