Fin de la croisière, tout le monde doit descendre...
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Fin de la croisière, tout le monde doit descendre...
Drôle de passeur que le crane rasé, les yeux cernés par trop de nuit sans sommeil sur sa coquille de noix.
Drôle de Styx que le fleuve "Espoir" qui épargne quelque peu la bourgade des monceau d'immondices qu'il charrie sur l'autre bras, celui qui file vers l'Est.
Drôle de d'outre monde, terminus de son voyage, Shangri La, la cosmopolite, colorée et odorante sous cette chaleur. Chaleur qui révèle et amplifie toutes les effluves pourrissante de la cuvette d'eau douce stagnante.
Lentement filtrée par la faune et la flore du marais, digérée par les vases traitresses et les tourbières voraces, épurée par le biotope local, la pourriture mortifère du monde se noie dans ces eaux noires, se décompose.
Sur cette vaste station dépuration a ciel ouvert, cet étrange bio-filtre, cuvette de chiottes ou fosse septique selon les gouts, -l'égout et les couleurs, hein...- se perd un fleuve encadré par les montagnes de part et d'autre.
Qu'il serait doux de se laisser absorber, allongé a même le marécage poisseux, dévoré par les insectes grouillants et les charognards en tout genre, qu'il serait tendre de revenir dans le giron de cette mère nature décharnée, de s'y blottir pour une dernière nuit, une ultime étreinte passionnée, jusqu'à faire partie intégrante de ce grand recycleur, rejoignant la cohorte des âmes perdues, noyés, suicidaires, dépressifs, zombifiés, amours perdus et autres victimes de bavures qui veillent sur ce haut lieu du grand cycle.
C'est auprès de l'étrange cité de bric et de broc, écrasée par la chaleur, empuantie par les effluves du marécage et nimbée de son voile mordoré et vrombissant d'hexapodes infatigables qu'il revient inlassablement comme une âme damnée au service d'un puissant thaumaturge.
Il revient l'étonnant passeur qui prête a rire ou a pleurer avec ses pupilles dilatées plus que de raison. Maxillaires crispés, agités par l'incessante mastication des feuilles de coca devenue aussi naturelle pour lui, que d'aller pisser par dessus bord quand sa vessie le lui ordonne.
Boule de billard, dont le visage et le crane se sont couverts pour l'occasion d'une pilosité claire garnie de pellicules noires sur les joues, rentre a la maison, la belle affaire...
Les lèvres, tachées d'un vert noirâtre, s'agitent périodiquement alors qu'il profite du courant qui les pousse vers les pontons pour ménager son effort, apparemment Ahèm n'est pas seul sur la barque et il entretient une discution animée de grands gestes et de hochement de tête avec son hôte enveloppé dans une couverture malgré le soleil haut dans le ciel en cette après midi.
La lame dans le dos, doté d'un fourreau qui a tout l'air d'un vieux sac de sport en cuir défraichi ayant trouvé sous les doigts de notre rameur -homme d'intérieur hautement qualifié si tant est qu'il faille le rappeler- une nouvelle utilité, sanglé au torse de notre aventurier usagé par dessus une tunique tachée d'alcool frelaté, de bile, de sang et de bave verdâtre.
L'embarcation approche doucement mais surement des premières constructions a pilotis et les guetteurs a l'affut distingue de mieux en mieux l'improbable explorateur qui baigne visiblement dans son jus depuis son départ, accompagnée d'une silhouette prostrée, allongée a la proue de l'esquif.
Ces deux là baignent dans un capharnaüm de sacs, de tonnelets, de caissettes et autres contenant ne leur laissant que peu de place pour faire autre chose que ramer et dormir.
Quoique maintenant que le pilote arrime la pirogue au ponton, l'œil droit en mode clignotant frénétique et le visage agité de tics, le sommeil devait être une perte de temps...
Ahèm s'affaire sur la barque désormais solidaire avec le reste du monde connu, solidement attachée, ce qui lui permet de faire les cents pas, d'aller et venir du passager a sa place plusieurs fois, enjambant les divers objets sans rien faire de plus que de marmonner en passant les paumes de ses mains cloquées sur le dessus de son crane et sa cicatrice qui peine a se dissimuler sous la chevelure naissante.
A croire que maintenant de retour il répugne a quitter sa maison flottante, son navire chimérique et son équipage fantôme.
Après de longues minutes a tourner et virer dans les petits deux mètres carrés ou il a le loisir de gigoter sans se prendre les pieds dans quelque chose il finit par s'agenouiller sur le passager qu'il prend a bras le corps pour monter sur le ponton vermoulu.
P'tain Alex, tu pourrai faire un effort, tout d'même...
...
Bah oui tiens qu'on est arrivé M'sieur, R'gad par toit même.
Raffermissant sa prise sur son encombrant paquet, il se met face a l'entrée la plus proche dévoilant aux yeux des curieux, le visage creusé et cireux d'un macchabée séché, momifié par le sable, la chaleur et le vent du désert. Camarade de voyage macabre auquel il semble expliquer la trépidante vie Shangrilaise et ses folkloriques représentants, attendant patient et volubile que les portes s'ouvrent.
Drôle de Styx que le fleuve "Espoir" qui épargne quelque peu la bourgade des monceau d'immondices qu'il charrie sur l'autre bras, celui qui file vers l'Est.
Drôle de d'outre monde, terminus de son voyage, Shangri La, la cosmopolite, colorée et odorante sous cette chaleur. Chaleur qui révèle et amplifie toutes les effluves pourrissante de la cuvette d'eau douce stagnante.
Lentement filtrée par la faune et la flore du marais, digérée par les vases traitresses et les tourbières voraces, épurée par le biotope local, la pourriture mortifère du monde se noie dans ces eaux noires, se décompose.
Sur cette vaste station dépuration a ciel ouvert, cet étrange bio-filtre, cuvette de chiottes ou fosse septique selon les gouts, -l'égout et les couleurs, hein...- se perd un fleuve encadré par les montagnes de part et d'autre.
Qu'il serait doux de se laisser absorber, allongé a même le marécage poisseux, dévoré par les insectes grouillants et les charognards en tout genre, qu'il serait tendre de revenir dans le giron de cette mère nature décharnée, de s'y blottir pour une dernière nuit, une ultime étreinte passionnée, jusqu'à faire partie intégrante de ce grand recycleur, rejoignant la cohorte des âmes perdues, noyés, suicidaires, dépressifs, zombifiés, amours perdus et autres victimes de bavures qui veillent sur ce haut lieu du grand cycle.
C'est auprès de l'étrange cité de bric et de broc, écrasée par la chaleur, empuantie par les effluves du marécage et nimbée de son voile mordoré et vrombissant d'hexapodes infatigables qu'il revient inlassablement comme une âme damnée au service d'un puissant thaumaturge.
Il revient l'étonnant passeur qui prête a rire ou a pleurer avec ses pupilles dilatées plus que de raison. Maxillaires crispés, agités par l'incessante mastication des feuilles de coca devenue aussi naturelle pour lui, que d'aller pisser par dessus bord quand sa vessie le lui ordonne.
Boule de billard, dont le visage et le crane se sont couverts pour l'occasion d'une pilosité claire garnie de pellicules noires sur les joues, rentre a la maison, la belle affaire...
Les lèvres, tachées d'un vert noirâtre, s'agitent périodiquement alors qu'il profite du courant qui les pousse vers les pontons pour ménager son effort, apparemment Ahèm n'est pas seul sur la barque et il entretient une discution animée de grands gestes et de hochement de tête avec son hôte enveloppé dans une couverture malgré le soleil haut dans le ciel en cette après midi.
La lame dans le dos, doté d'un fourreau qui a tout l'air d'un vieux sac de sport en cuir défraichi ayant trouvé sous les doigts de notre rameur -homme d'intérieur hautement qualifié si tant est qu'il faille le rappeler- une nouvelle utilité, sanglé au torse de notre aventurier usagé par dessus une tunique tachée d'alcool frelaté, de bile, de sang et de bave verdâtre.
L'embarcation approche doucement mais surement des premières constructions a pilotis et les guetteurs a l'affut distingue de mieux en mieux l'improbable explorateur qui baigne visiblement dans son jus depuis son départ, accompagnée d'une silhouette prostrée, allongée a la proue de l'esquif.
Ces deux là baignent dans un capharnaüm de sacs, de tonnelets, de caissettes et autres contenant ne leur laissant que peu de place pour faire autre chose que ramer et dormir.
Quoique maintenant que le pilote arrime la pirogue au ponton, l'œil droit en mode clignotant frénétique et le visage agité de tics, le sommeil devait être une perte de temps...
Ahèm s'affaire sur la barque désormais solidaire avec le reste du monde connu, solidement attachée, ce qui lui permet de faire les cents pas, d'aller et venir du passager a sa place plusieurs fois, enjambant les divers objets sans rien faire de plus que de marmonner en passant les paumes de ses mains cloquées sur le dessus de son crane et sa cicatrice qui peine a se dissimuler sous la chevelure naissante.
A croire que maintenant de retour il répugne a quitter sa maison flottante, son navire chimérique et son équipage fantôme.
Après de longues minutes a tourner et virer dans les petits deux mètres carrés ou il a le loisir de gigoter sans se prendre les pieds dans quelque chose il finit par s'agenouiller sur le passager qu'il prend a bras le corps pour monter sur le ponton vermoulu.
P'tain Alex, tu pourrai faire un effort, tout d'même...
...
Bah oui tiens qu'on est arrivé M'sieur, R'gad par toit même.
Raffermissant sa prise sur son encombrant paquet, il se met face a l'entrée la plus proche dévoilant aux yeux des curieux, le visage creusé et cireux d'un macchabée séché, momifié par le sable, la chaleur et le vent du désert. Camarade de voyage macabre auquel il semble expliquer la trépidante vie Shangrilaise et ses folkloriques représentants, attendant patient et volubile que les portes s'ouvrent.
AM 837- Messages : 479
Date d'inscription : 14/06/2010
Localisation : Souterraine
Re: Fin de la croisière, tout le monde doit descendre...
Alors, Monsieur Ahèm, le voyage s'est-il bien passé ?
Pas de doute, ce ne peut être que Zkapt qui interpelle le batelier de fortune. Oh, pas vraiment pour lui demander quelles sont ses fabuleuses découvertes : elle a suivi tout cela par radio interposée, en direct, comme elle a pu suivre les délires du descendant des Vikings ... sans bien en comprendre tous les tenants et tous les aboutissants.
Mais quand le Conseiller lui avait dit qu'il ramenait un ami peu loquace à Shangri-La, elle était loin d'imaginer que ledit Alex, puisque tel était son nom au moins depuis sa rencontre avec Ahèm, reposerait en paix et puerait la charogne.
Hmm, je vois que vous avez voulu rendre un service au Corps des Croques-Morts Volontaires ... C'est fort aimable à vous, mais ne tardez pas trop à enterrer cet homme ; sa dépouille ne semble pas dater de la dernière lune, et nul ne sait quelles maladies ce macchabée peut bien nous transmettre si l'on n'y prend pas garde.
Pas de doute, ce ne peut être que Zkapt qui interpelle le batelier de fortune. Oh, pas vraiment pour lui demander quelles sont ses fabuleuses découvertes : elle a suivi tout cela par radio interposée, en direct, comme elle a pu suivre les délires du descendant des Vikings ... sans bien en comprendre tous les tenants et tous les aboutissants.
Mais quand le Conseiller lui avait dit qu'il ramenait un ami peu loquace à Shangri-La, elle était loin d'imaginer que ledit Alex, puisque tel était son nom au moins depuis sa rencontre avec Ahèm, reposerait en paix et puerait la charogne.
Hmm, je vois que vous avez voulu rendre un service au Corps des Croques-Morts Volontaires ... C'est fort aimable à vous, mais ne tardez pas trop à enterrer cet homme ; sa dépouille ne semble pas dater de la dernière lune, et nul ne sait quelles maladies ce macchabée peut bien nous transmettre si l'on n'y prend pas garde.
Zkapt- Conseillers de Shangri-La
- Messages : 3480
Date d'inscription : 21/02/2010
Re: Fin de la croisière, tout le monde doit descendre...
"Boule de billard" dépose son camarade avec soin sur le ponton, calé contre un des poteaux profondément enfoui dans la vase.
La silhouette bientôt suivie par la voie caractéristique de l'administratrice étire un grand sourire sur la face de dépressif camé du crane -mal- rasé.
T'vois Alex, ça s'est Zkapt, j't'en ai causé tu t'souviens ?
...
Ouais j'comprends que ça te laisse bouche bée, ça ma fait ça aussi la première fois héhé...
...
T'inquiète de rien, m'occupe de tout !
L'homme dépenaillé a l'hygiène douteuse après plusieurs lunes de péripéties s'approche de l'imposante silhouette.
M'dame Zkapt, si vous saviez c'que vous m'avez manqué, j'vous l'ai dis déjà p'têt mais quand même.
Tout l'monde m'a manqué d'ailleurs dans ce voyage 'savez. Tout l'monde va bien ?
Le débit est fébrile et les paroles sautent du coq a l'âne au moins aussi vite que les pensées. Nager, Zkapt, Alisha, Lanthane, Jo et Tamarie, Mira, Porta, Alizia et tant d'autre, défilent dans la boite crânienne d'Am dans une joyeuse farandole.
Simplement croisés, entrevus, appréciés ou haïs... Voir les deux. Si Alex pouvait répéter tout ce qu'il a entendu voilà qui pourrait être intéressant, seulement c'est un macchabée, c'est évident sauf apparemment pour lui qui a trouvé de quoi focaliser son attention et sur qui reporter son besoin de causette.
L'voyage ? Ouais mor-tel !
Une vrai croisière sur le Styx, des cadavres partout et des harpies qui s'en repaissent... Z'ont même faillit m'bouffer !
L'expression d'Am change brutalement pour recouvrir un rictus haineux avant qu'il ne détourne la tête pour cracher un boule façon papier maché verdâtre d'origine végétale un peu plus loin derrière eux.
Puis il pioche dans sa besace une petite poignée de feuille qu'il enfourne aussi sec avant de sembler s'apaiser en reprenant un semblant de communication décousue avec son interlocutrice, désignant du pouce la grande lame accrochée dans son dos.
J'spère qu'il y a pas d'ça chez nous, sinon maint'nant que j'suis armé, j'les laisserai pas m'pourrir la vie...
'Causiez des croquemorts non ? C'vrai qu'j'ai inhumé trois pauv'malheureux qu'on pas eut la chance de m'croiser au bon moment comme le Alex.
Me suis dit que pour le repos de leur dépouille et pour qu'les harpies n'profane pas leurs restes, c'était mieux comme ça.
Mais s'non pour Alex faut pas vous en faire, l'est juste intimidé par l'village et par vot'... Prestance.
Pas vrai Al' ?
...
C'bien c'que j'me disais aussi.
Mais vous inquiétez pas M'dame Zkapt, j'vais l'accompagner d'suite a la visite médicale si vous craignez qu'il ramène des saloperies Pis maint'nant qu'vous l'dites j'espère qu'il nous couve pas un S.P.E. vu comme il est... Léthargique.
J'laisse a vos bons soins la barcasse et mes trouvailles, j'vais tirer ça au clair avec not' diagnosticienne d'choc !
Aussitôt dit aussitôt fait, il se détourne pour revenir vers le cadavre décharné dans sa couverture et se prépare a entrer, momie des sables dans les bras.
La silhouette bientôt suivie par la voie caractéristique de l'administratrice étire un grand sourire sur la face de dépressif camé du crane -mal- rasé.
T'vois Alex, ça s'est Zkapt, j't'en ai causé tu t'souviens ?
...
Ouais j'comprends que ça te laisse bouche bée, ça ma fait ça aussi la première fois héhé...
...
T'inquiète de rien, m'occupe de tout !
L'homme dépenaillé a l'hygiène douteuse après plusieurs lunes de péripéties s'approche de l'imposante silhouette.
M'dame Zkapt, si vous saviez c'que vous m'avez manqué, j'vous l'ai dis déjà p'têt mais quand même.
Tout l'monde m'a manqué d'ailleurs dans ce voyage 'savez. Tout l'monde va bien ?
Le débit est fébrile et les paroles sautent du coq a l'âne au moins aussi vite que les pensées. Nager, Zkapt, Alisha, Lanthane, Jo et Tamarie, Mira, Porta, Alizia et tant d'autre, défilent dans la boite crânienne d'Am dans une joyeuse farandole.
Simplement croisés, entrevus, appréciés ou haïs... Voir les deux. Si Alex pouvait répéter tout ce qu'il a entendu voilà qui pourrait être intéressant, seulement c'est un macchabée, c'est évident sauf apparemment pour lui qui a trouvé de quoi focaliser son attention et sur qui reporter son besoin de causette.
L'voyage ? Ouais mor-tel !
Une vrai croisière sur le Styx, des cadavres partout et des harpies qui s'en repaissent... Z'ont même faillit m'bouffer !
L'expression d'Am change brutalement pour recouvrir un rictus haineux avant qu'il ne détourne la tête pour cracher un boule façon papier maché verdâtre d'origine végétale un peu plus loin derrière eux.
Puis il pioche dans sa besace une petite poignée de feuille qu'il enfourne aussi sec avant de sembler s'apaiser en reprenant un semblant de communication décousue avec son interlocutrice, désignant du pouce la grande lame accrochée dans son dos.
J'spère qu'il y a pas d'ça chez nous, sinon maint'nant que j'suis armé, j'les laisserai pas m'pourrir la vie...
'Causiez des croquemorts non ? C'vrai qu'j'ai inhumé trois pauv'malheureux qu'on pas eut la chance de m'croiser au bon moment comme le Alex.
Me suis dit que pour le repos de leur dépouille et pour qu'les harpies n'profane pas leurs restes, c'était mieux comme ça.
Mais s'non pour Alex faut pas vous en faire, l'est juste intimidé par l'village et par vot'... Prestance.
Pas vrai Al' ?
...
C'bien c'que j'me disais aussi.
Mais vous inquiétez pas M'dame Zkapt, j'vais l'accompagner d'suite a la visite médicale si vous craignez qu'il ramène des saloperies Pis maint'nant qu'vous l'dites j'espère qu'il nous couve pas un S.P.E. vu comme il est... Léthargique.
J'laisse a vos bons soins la barcasse et mes trouvailles, j'vais tirer ça au clair avec not' diagnosticienne d'choc !
Aussitôt dit aussitôt fait, il se détourne pour revenir vers le cadavre décharné dans sa couverture et se prépare a entrer, momie des sables dans les bras.
AM 837- Messages : 479
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