Décollage nocturne. Vrrrrr...
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Décollage nocturne. Vrrrrr...
Difficile de trouver le sommeil, cette fois encore. Compter les toiles d'araignées sur le plafond pourri de la grange, ou les moutons radioactifs qui s'enculent joyeusement dans les prés imaginaires : un... Deux... Trois... Merde ! Non. Laisse tomber les moutons.
C'est en pleine nuit, que la cavalière s'est levée. Discrètement, en prenant soin de ne réveiller ni Alisha, qui dormait plus loin dans la grange, ni Meryl, ni même Tamarie, lovée contre la brune insomniaque. C'est sans bruit aucun, qu'elle a enfilé son imperméable crasseux, équipé son arc en bandoulière, et sa batte dans son fourreau de fortune : la poche de cuir qui pendouillait négligemment à son coté.
Un baiser pour la gamine, avant de la recouvrir de cette couverture sale, qui empestait le cheval. Et rien d'autre. Pas d'au revoir gnangnan à chier : la maison se donnait un tout autre genre. Pour Alisha, elle s'était contentée de chercher dans ses affaires le filet de capture, qu'elle lui avait déposé à coté de sa couche : cadeau; ouais j'sais, j't'offre un truc qui m'appartiens même pas. Tu m'excus'ras, j'ai pas eu l'temps d'passer chez l'chocolatier. Pas d'effusions, elle avait entrouvert la porte de la grange, s'était laissée glisser dehors, dans la pénombre.
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La mercenaire peste, et crache par terre. Son bourrin hennit et souffle, attaché à l'extérieur de la grange : pas de doute, ils ont les mêmes manières. Difficile de les différencier, à table.
"Bouge pas j'te dis... Calme..."
Elle calme l'animal, caresse la crinière crasseuse, aux poils emmêlés... Avant de soulever ses sacoches latérales, remplies de vivres, et de quelques affaires, qu'elle place judicieusement en balance sur les flancs de la bête. Un coup de réajustement sur son carquois... Vu d'ici, elle semble bien encombrée, la brunasse : cet arc qui lui barre la poitrine, ce carquois qui pend à son flanc droit, tandis que la batte pend au gauche, dans sa gangue de cuir : Zébulon s'en va-t-en guerre, pourrait-on croire. Mais non.
"Allez va..."
Une caresse, encore -beaucoup de caresses en une seule nuit- sur le museau du cheval chargé à la baudet. Elle saisit la bride, s'éloigne dans l'artère, en direction des portes. Pas de grand galop. Pas de cinéma... Une sortie solitaire et silencieuse; une sortie de pauvre, dans la pénombre et l'indifférence.
C'est en pleine nuit, que la cavalière s'est levée. Discrètement, en prenant soin de ne réveiller ni Alisha, qui dormait plus loin dans la grange, ni Meryl, ni même Tamarie, lovée contre la brune insomniaque. C'est sans bruit aucun, qu'elle a enfilé son imperméable crasseux, équipé son arc en bandoulière, et sa batte dans son fourreau de fortune : la poche de cuir qui pendouillait négligemment à son coté.
Un baiser pour la gamine, avant de la recouvrir de cette couverture sale, qui empestait le cheval. Et rien d'autre. Pas d'au revoir gnangnan à chier : la maison se donnait un tout autre genre. Pour Alisha, elle s'était contentée de chercher dans ses affaires le filet de capture, qu'elle lui avait déposé à coté de sa couche : cadeau; ouais j'sais, j't'offre un truc qui m'appartiens même pas. Tu m'excus'ras, j'ai pas eu l'temps d'passer chez l'chocolatier. Pas d'effusions, elle avait entrouvert la porte de la grange, s'était laissée glisser dehors, dans la pénombre.
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La mercenaire peste, et crache par terre. Son bourrin hennit et souffle, attaché à l'extérieur de la grange : pas de doute, ils ont les mêmes manières. Difficile de les différencier, à table.
"Bouge pas j'te dis... Calme..."
Elle calme l'animal, caresse la crinière crasseuse, aux poils emmêlés... Avant de soulever ses sacoches latérales, remplies de vivres, et de quelques affaires, qu'elle place judicieusement en balance sur les flancs de la bête. Un coup de réajustement sur son carquois... Vu d'ici, elle semble bien encombrée, la brunasse : cet arc qui lui barre la poitrine, ce carquois qui pend à son flanc droit, tandis que la batte pend au gauche, dans sa gangue de cuir : Zébulon s'en va-t-en guerre, pourrait-on croire. Mais non.
"Allez va..."
Une caresse, encore -beaucoup de caresses en une seule nuit- sur le museau du cheval chargé à la baudet. Elle saisit la bride, s'éloigne dans l'artère, en direction des portes. Pas de grand galop. Pas de cinéma... Une sortie solitaire et silencieuse; une sortie de pauvre, dans la pénombre et l'indifférence.
Jo Clay- Messages : 315
Date d'inscription : 26/04/2010
Re: Décollage nocturne. Vrrrrr...
Y'en a un autre qu'avait du mal à dormir: Malade comme un chien Andjock déambulait se tenant le bide.
Il aperçoit une ombre qu'il aura vite fait d'identifier sur son animal: La Jo terrible (Il en doute de plus en plus) et magnifique (il en doute de moins en moins).
Elle s'éloigne de la ville en direction de lui et de la porte... De lui pas tout a fait mais il peut faire en sorte que ce soit le cas: D'un pas furtif, caché dans l'ombre il s'avance pour se trouver sur le chemin de la cavalière.
« Pas moyen de trouver le sommeil? Tu compte aller loin comme ça? Je t'aurait bien accompagné mais... 'Fin bon fait une bonne ballade. J'voulais te dire autre chose mais j'ai oublié... »
Puis il regarde ses pieds comme souvent quand il s'adresse a Jo comme s'il avait peur de la réponse... Ou qu'elle ne réponde pas.
Il aperçoit une ombre qu'il aura vite fait d'identifier sur son animal: La Jo terrible (Il en doute de plus en plus) et magnifique (il en doute de moins en moins).
Elle s'éloigne de la ville en direction de lui et de la porte... De lui pas tout a fait mais il peut faire en sorte que ce soit le cas: D'un pas furtif, caché dans l'ombre il s'avance pour se trouver sur le chemin de la cavalière.
« Pas moyen de trouver le sommeil? Tu compte aller loin comme ça? Je t'aurait bien accompagné mais... 'Fin bon fait une bonne ballade. J'voulais te dire autre chose mais j'ai oublié... »
Puis il regarde ses pieds comme souvent quand il s'adresse a Jo comme s'il avait peur de la réponse... Ou qu'elle ne réponde pas.
Andjock- Sages de Shangri-La
- Messages : 153
Date d'inscription : 26/04/2010
Re: Décollage nocturne. Vrrrrr...
On avait dit "pénombre et indifférence". "Pénombre et indifférence". "Pénombre et indifférence". Du moins c'est ce qu'elle aurait voulu... La pénombre et l'indifférence. Mais comme souvent dans la vie, tu peux pas tout avoir : et le beurre et le cul de la crémière. Alors elle n'aura que la pénombre, qui sied si bien à tout début d'aventure solitaire et foireuse à issue douteuse et bien souvent funeste.
Pour l'heure, plantée a pied, et tenant toujours son bestiau par la longe, elle regarde le gros finaud, qui lui, regarde ses pieds...
"Curieux, Andy?"
Pas de soupir, pour une fois.
"Alors dis rien, si t'as oublié. C'pas grave."
Elle reprend sa marche, en trainant son cheval derrière elle. Elle dépasse le gros; lui file une claque sur la fesse, en se retournant vers lui. Un sourire aux lèvres, de ces rares grimaces heureuses qu'on ne lui connaît pas.
"Profites en pour t'mettre au sport."
Un de ces clins d'oeils qu'on ne lui connait pas non plus. Elle passe le portail, calle son pied dans l'étrier... Saute en selle. Un claquement de talons secs dans les flancs de la monture... Elle est partie. Toute seule, vraiment... Cette fois.
Pour l'heure, plantée a pied, et tenant toujours son bestiau par la longe, elle regarde le gros finaud, qui lui, regarde ses pieds...
"Curieux, Andy?"
Pas de soupir, pour une fois.
"Alors dis rien, si t'as oublié. C'pas grave."
Elle reprend sa marche, en trainant son cheval derrière elle. Elle dépasse le gros; lui file une claque sur la fesse, en se retournant vers lui. Un sourire aux lèvres, de ces rares grimaces heureuses qu'on ne lui connaît pas.
"Profites en pour t'mettre au sport."
Un de ces clins d'oeils qu'on ne lui connait pas non plus. Elle passe le portail, calle son pied dans l'étrier... Saute en selle. Un claquement de talons secs dans les flancs de la monture... Elle est partie. Toute seule, vraiment... Cette fois.
Jo Clay- Messages : 315
Date d'inscription : 26/04/2010
Re: Décollage nocturne. Vrrrrr...
Douce nuit froide, le petit ange dort à poings fermés dans le lit de la tendre Jo Clay. Un baiser vient se déposer sur son front, sans la réveille, la petite fille sourit au contacte de ses lèvres. Mais la nuit froide pousse Tamarie a chercher de la chaleur. De sa main elle explore la couche sale et vide. Personne...
Le petit bout se redresse, tente d'ouvrir ses grands yeux, soudés par le sommeil. Elle se frotte les paupières et cherche sa grande sœur... Introuvable. Jo n'était pas là, dans le fond de la pièce, le doux ronronnement de la princesse indienne. Elle se lève, baille, s'étire et va voir les chevaux. Des yeux elle parcourt les boxes, son cheval n'est plus là...
Un frison lui parcourt l'échine, déjà de grosses larmes montent, nouant sa gorge de sanglot étouffé. Elle court vers Alisha et la secoue comme un sac de patates. La belle réveillée elle ne lui adresse même pas la parole, pas le temps. Elle cours vers sa petite radio laissé près du lit. Elle l'allume déjà sur la fréquence de Jo, fréquence qu'elle connaissait par cœur.
La radio s'ouvre sur des sanglots, la petite fille pleure comme elle pleure rarement. Le micro solidement tenu, elle chiale et hurle son chagrin sur les ondes. Incapable de parler...
Elle se sentait trahis, abandonnée, seule...
Le petit bout se redresse, tente d'ouvrir ses grands yeux, soudés par le sommeil. Elle se frotte les paupières et cherche sa grande sœur... Introuvable. Jo n'était pas là, dans le fond de la pièce, le doux ronronnement de la princesse indienne. Elle se lève, baille, s'étire et va voir les chevaux. Des yeux elle parcourt les boxes, son cheval n'est plus là...
Un frison lui parcourt l'échine, déjà de grosses larmes montent, nouant sa gorge de sanglot étouffé. Elle court vers Alisha et la secoue comme un sac de patates. La belle réveillée elle ne lui adresse même pas la parole, pas le temps. Elle cours vers sa petite radio laissé près du lit. Elle l'allume déjà sur la fréquence de Jo, fréquence qu'elle connaissait par cœur.
La radio s'ouvre sur des sanglots, la petite fille pleure comme elle pleure rarement. Le micro solidement tenu, elle chiale et hurle son chagrin sur les ondes. Incapable de parler...
Elle se sentait trahis, abandonnée, seule...
Tamarie- Messages : 294
Date d'inscription : 05/04/2010
Re: Décollage nocturne. Vrrrrr...
Alison revenait de son excursion en montagne, elle aurait dû moins trainer à jouer les cavalières sur le chemin, à monter sur son esclave, parce que la nuit était très vite tombée. En arrivant tout prêt de la ville, elle a vu partir une ombre qui lui était très familière, difficile d'oublier celle qui vous a mater si facilement...
L'ado cours, trainant avec elle sa prisonnière Tara qui a du mal à suivre, ralenti leur course, les fait trébucher. Trop loin, Alison est trop loin pour la rattraper de toute façon. elle s'arrete, les poings serrer le long du corps elle chuchote.
- Mais qu'est ce qu'elle fait ?....Je sais pas où tu vas la grognasse....mais un jour je serais plus forte que toi...
L'ado cours, trainant avec elle sa prisonnière Tara qui a du mal à suivre, ralenti leur course, les fait trébucher. Trop loin, Alison est trop loin pour la rattraper de toute façon. elle s'arrete, les poings serrer le long du corps elle chuchote.
- Mais qu'est ce qu'elle fait ?....Je sais pas où tu vas la grognasse....mais un jour je serais plus forte que toi...
Alison- Messages : 164
Date d'inscription : 26/05/2010
Re: Décollage nocturne. Vrrrrr...
Elle est déjà loin, quand sa radio crépite, et qu'en sortent les cris et les pleurs... Cette vieille radio : le poste à galène qui pend au flanc de la monture, à l'avant de la selle, et qui fait raisonner les sanglots au rythme de la chevauchée. Comme si les choses pouvaient pas se faire simplement; comme si on pouvait pas lui simplifier la tâche, pour une fois... Triste et rageuse, elle coupe la radio. Ne répond pas.
Et elle la rallume, quelques pas plus loin, sur la fréquence du talkie qu'elle avait donné à la gosse, y'avait paye de temps de ça...
-sssSSHHhhzzzz-
"Pleures pas trésor... J'suis jamais loin d'toi... T'as bien vu la dernière fois."
Voix pincée, peut-être un chialement qu'elle réprimera dans un reniflement pas élégant, pour le renfoncer au fond de sa gorge, piler tout ça à coup de botte : koff koff. Et la chevauchée continuera, comme ça... Triste, morne, solitaire. C'est elle qui l'a voulu.
Et elle la rallume, quelques pas plus loin, sur la fréquence du talkie qu'elle avait donné à la gosse, y'avait paye de temps de ça...
-sssSSHHhhzzzz-
"Pleures pas trésor... J'suis jamais loin d'toi... T'as bien vu la dernière fois."
Voix pincée, peut-être un chialement qu'elle réprimera dans un reniflement pas élégant, pour le renfoncer au fond de sa gorge, piler tout ça à coup de botte : koff koff. Et la chevauchée continuera, comme ça... Triste, morne, solitaire. C'est elle qui l'a voulu.
Jo Clay- Messages : 315
Date d'inscription : 26/04/2010
Re: Décollage nocturne. Vrrrrr...
Toujours en pleure, des larmes et de la morve qui dégouline sur son visage grimaçant de chagrin. Perdue, déboussolée, ses pleures se portaient au loin de la ville toujours endormie de Shangri-la. Sa radio ne lui fit pas de réponse, silence complet... Mais dans le font de sa grande poche ventrale, poche marsupial où se fourraient tous les trésors de la petite, la réponse se fit entendre. Elle lâcha sa radio pour plonger les deux mains dans sa pochette, sortant le talkie.
Ne pas pleurer, elle en à de bonne... La voix nouée elle commença pas un petit hoquet, le temps de se calmer.
Pou...Pour... *hips* Pourquoi qu't'es partie?...*sanglot*
Pour le moment, elle ne pouvait pas aligner une phrase plus longue, alors qu'elle avait tant de questions à lui pauser... Elle savait que Jo n'aimait pas l'entendre pleurer mais c'était trop dure pour elle. Perdre les gens qu'elle aimait, mais surtout, sans savoir pourquoi, c'était terrible.
Ne pas pleurer, elle en à de bonne... La voix nouée elle commença pas un petit hoquet, le temps de se calmer.
Pou...Pour... *hips* Pourquoi qu't'es partie?...*sanglot*
Pour le moment, elle ne pouvait pas aligner une phrase plus longue, alors qu'elle avait tant de questions à lui pauser... Elle savait que Jo n'aimait pas l'entendre pleurer mais c'était trop dure pour elle. Perdre les gens qu'elle aimait, mais surtout, sans savoir pourquoi, c'était terrible.
Tamarie- Messages : 294
Date d'inscription : 05/04/2010
Re: Décollage nocturne. Vrrrrr...
"Fallait qu'je m'éloigne un peu... Que j'sois seule... Et j'ai quelques affaires à régler, avec des gens qu'tu connais pas... Puis j'chasse l'croque-mitaine aussi, t'sais bien. Pour qu'tu puisses t'prom'ner toute seule à ch'val sans risques."
Les grésillements et l'arrière son de cavalcade cessent : signe que la cavalière s'est arrêtée. Un hénissement étouffé par la distance avec l'émetteur... Un soupir.
"Alors pleure plus. Sois pas triste... J'pleure pas moi, tu sais bien. Jamais."
Menteuse.
Les grésillements et l'arrière son de cavalcade cessent : signe que la cavalière s'est arrêtée. Un hénissement étouffé par la distance avec l'émetteur... Un soupir.
"Alors pleure plus. Sois pas triste... J'pleure pas moi, tu sais bien. Jamais."
Menteuse.
Jo Clay- Messages : 315
Date d'inscription : 26/04/2010
Re: Décollage nocturne. Vrrrrr...
Elle avait arrêtée de pleurer. Ses yeux étaient toujours gonflées. D'un revers de la manche elle essuie son petit nez, étalant le nectar verdâtre sur son bras.
Si tu veux pas que je sois triste, tu avais qu'a pas partir aussi... Tu t'en vas tout le temps sans moi, tu fais rien que m'abandonner et tu me dis jamais pourquoi en plus... J'en ai marre moi...
Elle en avait assez, marre de se faire traiter comme une gamine, marre de n'être qu'une étape, voir même un poids. Marre de se sentir rabaissée, de pleurer et d'être mal traitée.
Ben vu que c'est comme ça, tant pis pour toi!
Elle raccrocha son talkie et le fourra violemment dans le fond de sa poche. En colère, elle sortie de la grange clappa la grande porte derrière elle, et tout en rage, partie pour sa cachette.
Si tu veux pas que je sois triste, tu avais qu'a pas partir aussi... Tu t'en vas tout le temps sans moi, tu fais rien que m'abandonner et tu me dis jamais pourquoi en plus... J'en ai marre moi...
Elle en avait assez, marre de se faire traiter comme une gamine, marre de n'être qu'une étape, voir même un poids. Marre de se sentir rabaissée, de pleurer et d'être mal traitée.
Ben vu que c'est comme ça, tant pis pour toi!
Elle raccrocha son talkie et le fourra violemment dans le fond de sa poche. En colère, elle sortie de la grange clappa la grande porte derrière elle, et tout en rage, partie pour sa cachette.
Tamarie- Messages : 294
Date d'inscription : 05/04/2010
Re: Décollage nocturne. Vrrrrr...
La radio coupe, la brune reste interdite, son émetteur dans les mains, comme une conne. Bzzz. Bzzz. Nop, elle peut appuyer sur la bobinette, la chevillette cherre pas : y'a plus de signal dans la machine. Déclic merdeux, déclanchement douteux, dans l'esprit de la connasse, façon "c'en est trop". Aigrie, elle jette l'émetteur contre le flanc de sa monture, violemment. L'animal tressaille... Le micro pendouille lamentablement à son coté meurtri.
Ou comment éviter de raccrocher tout simplement un combiné téléphonique.
Ou comment éviter de raccrocher tout simplement un combiné téléphonique.
Jo Clay- Messages : 315
Date d'inscription : 26/04/2010
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